Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous mais moi j’adore écouter ou lire les histoires de toutes ces personnes qui ont été sauvées par les anges. Cela me réchauffe le cœur et me donne la confirmation que je ne suis jamais seule. Je partage avec vous ici quelques-uns de ces récits et souhaite que cela vous fasse autant de bien qu’à moi et vous remplisse d’amour. Si vous souhaitez raconter votre propre histoire, je la publierai avec plaisir.
Sauvée lors d’un accident de voiture
Je commencerai par une histoire qui m’est arrivée personnellement : J’avais à l’époque 18 ans, je faisais du vélo non loin de chez moi mais je ne me sentais pas très rassurée. Je ne cessais de regarder derrière moi jusqu’au moment où j’ai vu un bus. Je ne sais pour quelle raison, j’ai cru qu’il allait me rentrer dedans et me suis mise à pédaler comme une folle sans tenir compte des dangers devant moi. C’est comme si je sentais que j’allais subir un accident mais je me souviens parfaitement m’être dit “je préfère me faire écraser par une voiture que par un bus”. Le genre de phrase folle que l’on peut se dire lorsqu’on est pris de panique, parce qu’en réalité j’avais une troisième option: ne pas me faire écraser du tout ! Quoi qu’il en soit, me voilà en train de pédaler dangereusement vers le croisement avec une route nationale. J’ai vu une voiture arriver sur ma gauche, trop tard, je me suis dit que c’était ma fin. Soudain, j’ai clairement senti des mains sous mes fesses me porter et me déposer vigoureusement un peu plus loin. Lorsque j’ai repris conscience, j’ai vu le vélo détruit par le choc, le bus arrêté, tous les passagers dehors en train de me regarder. Encore en état de choc, j’ai ramassé mon vélo et ai voulu rentrer chez moi. Les passagers du bus et de la voiture ont voulu appeler les pompiers, la police, m’emmener à l’hôpital, mais je leur disais que j’allais bien. Personne ne comprenait ce qu’il venait de se passer… Je venais d’être sauvée par mes anges gardiens.
Un cambriolage qui aurait pu mal tourner
En Novembre 2003, je venais de commencer l’université. Un mardi soir, mon amie, son petit ami et moi allions écouter un concert. Avant de quitter la maison, nous avons entendu un coup sur la porte d’entrée. Presque instantanément, un homme habillé de noir et portant un masque de ski se tenait en face de mes amis et moi. Nous étions assis sur le canapé. Il pointait un fusil d’assaut sur nous et nous a dit de mettre la tête dans le canapé. Je me suis mise à penser : «Eh bien, ça y est, je vais mourir ». Je sentais que je devais faire quelque chose pour me préparer à la mort. Comme j’ai fait le catéchisme, j’ai ressenti que je devais dire la prière de Notre père encore et encore à haute voix, puis j’ai attrapé la main de mes amis et ai commencé à prier. Ce fut un peu bizarre, car à cette époque de ma vie, j’avais tourné le dos à Dieu, et n’étais pas du tout religieuse.
L’homme en noir et ses complices (il y en avait environ cinq) ont saccagé la maison et battu le petit copain de mon amie. Puis deux d’entre eux ont dit : “hey, il y a deux femmes ici”. Ils m’ont dit de me lever pour “vérifier si je me cachais quelque chose dans mon pantalon.” J’avais alors de plus en plus de mal à réciter mes prières. Le salon, qui était jusque là plongé dans l’obscurité, a commencé à devenir plus lumineux. Même si je ne voulais pas ouvrir les yeux pour ne pas voir ces hommes, je pouvais encore voir un peu à travers les fentes de mes yeux et je ne peux pas vraiment expliquer ce qu’il s’est passé mais j’ai commencé à ressentir du calme et à avoir la chair de poule. Je savais que j’étais en sécurité.
Un autre des voyous est venu, m’a attrapé par le bras et m’a conduit dans une autre pièce avant que les autres puissent me faire quelque chose. Il m’a jetée sur le sol. C’est à ce moment que j’ai entendu “quelque chose” me dire ce que je devais faire. J’ai crié “Non!” exactement comme la voix me disait de le faire. Toujours sur le sol, j’ai senti l’homme me tirer en arrière, la voix m’a alors dit “saisis quelque chose, quoi que ce soit !” J’ai saisi quelque chose … c’était ce que j’ai cru être une paire d’ailes blanches … Je ne sais toujours pas à ce jour si elles étaient réelles ou pas … puis la pièce a commencé à devenir plus lumineuse. L’homme m’a regardée et m’a dit qu’il l’allait pas laisser les autres me faire du mal. Sur ce, l’un d’eux est arrivé et m’a giflée mais l’homme qui m’avait amené dans cette autre pièce lui a dit de me laisser tranquille. Je me suis toujours demandé pourquoi à ce moment-là, il avait décidé d’avoir pitié de moi. Pourrait-il avoir vu quelque chose, la même chose que j’avais vue?
Les voyous ont fini par quitter la maison mais je continuais d’entendre cette voix me dire quoi faire. Je dis à mon ami et son petit ami ensanglanté que nous devions quitter la maison immédiatement et chercher de l’aide. Nous sommes allés chez les voisins et avons appelé le 911. La voix m’a dit de demander au voisin s’il avait bien verrouillé la porte. Alors qu’il venait juste de le faire, quelqu’un a donné un coup dedans pour l’ouvrir. Environ cinq minutes plus tard, la police est arrivée.
Depuis cette nuit, je sens qu’il y a vraiment des anges qui nous protègent. Ma foi dans le monde spirituel a été réaffirmée. Mon amie et moi aurions pu être tuées ou pire. Je suis sûr que quelque chose… un ange gardien… nous a protégés en me disant ce que je devais faire.
Source : http://www.wirenot.net/X/Articles/2009/00-B/angelsinterventiontellingmewhattodo.shtml?e=0,98,99#0
Tremblement de terre
Cette histoire m’est arrivée en 1994, alors que je rendais visite à ma sœur à Topanga Canyon en Californie. Epuisée par la journée que j’ai passé à l’aider à préparer le déménagement de son magasin au Canada, je me suis couchée directement sur le sol de son arrière-boutique.
Dans le milieu de la nuit une voix m’a réveillée et a dit, “Va dormir dans un lit”. Pensant que c’était ma sœur qui me parlait, j’ai répondu, “Je suis trop fatiguée”. Une fois de plus la voix dit: “Va dormir dans un lit, va dormir dans un lit”. La voix était en colère cette fois. J’ai répondu, “Bon ça va, j’y vais !”
Je suis donc allée dormir dans le lit de ma sœur. Soudain, j’ai été réveillée par un énorme tremblement de terre de 6,8 de magnitude. Ma tête allait allait dans tous les sens. Ma sœur criait parce qu’elle ne pouvait pas ouvrir la porte de la chambre. Je suis restée au lit, calme.
Lorsque le tremblement de terre a cessé, je suis allée dans l’arrière-boutique où je m’étais endormie et j’ai trouvé l’énorme miroir de ma sœur sur le sol. Les morceaux de verre étaient plantés sur le sol comme des poignards. Si j’avais continué à dormir là, j’aurais été gravement blessée ou même morte. Je lui ai demandé si c’était elle qui m’avait dit d’aller dormir dans un lit. Elle m’a répondu qu’elle ne m’avait jamais parlé cette nuit-là. Tout ce à quoi je pouvais penser était : “je me battais avec mon ange gardien qui tentait de me sauver”.
Source : http://www.wirenot.net/X/Articles/2005/M/myguardianangel2.shtml?e=0,98,99,354,355,366#0
L’Ange Gardien de Mel
Cette histoire se produisit lorsque j’avais 10 ans, et je ne l’oublierai jamais. Je suis diabétique précoce. Un jour, je suis rentré à la maison pour déjeuner ; après avoir mangé mon repas pour diabétiques, j’ai eu envie d’un soda pour faire passer ce que je venais de manger. Quand j’ai pris la canette de soda, je n’ai pas vu qu’il n’était pas sans sucre. J’ai commencé à boire quand soudain j’ai entendu une voix crier « MEL ! ». J’ai immédiatement enlevé la canette de ma bouche pour savoir qui m’appelait. Je me suis alors rendu compte qu’il s’agissait d’un soda sucré et que cela aurait pu me tuer. J’ai fouillé toute la maison pour m’assurer qu’il n’y avait personne. La télévision et la radio étaient éteintes. Il n’y avait d’autres bruits que les battements de mon cœur. C’était bien une intervention divine qui m’a sauvé la vie, et je n’oublierai jamais ce jour-là aussi longtemps que je vivrai.
Source : http://www.wirenot.net/X/Stories/Angel/Angel_K-N/Melsguardianangel.shtml?e=0,98,99,354,355,366,389,755,756#0
Quand un somnambule et une crampe d’estomac sauvent un bébé
Je devais aller faire du babysitting dans une vielle maison assez loin de chez moi. Depuis quelque temps, j’avais souvent des crampes d’estomac, j’ai donc pris mes médicaments avec moi puisque je devais passer toute la nuit chez mes employeurs. J’ai mis les médicaments non loin du lit du bébé. Vers dix heures, j’ai commencé à me sentir fatiguée. Le bébé et Aiden, l’autre petit enfant que je gardais, étaient couchés. Je suis allée les voir deux fois avant d’aller dormir sur le canapé. Soudain, j’ai eu un violent mal de ventre et j’ai cru que j’allais vomir. Quelque chose n’allait pas du tout, je n’avais jamais eu aussi mal. Ma mère m’avait dit de ne prendre les médicament que si j’avais vraiment une douleur insupportable, j’ai donc couru dans la chambre du bébé, j’ai cherché mes médicaments mais n’ai pas réussi à les trouver. J’ai regardé dans le lit du bébé pour voir s’ils n’étaient pas tombés dedans, quand à ma grande horreur, j’ai vu le bébé immobile ne respirant plus. Son petit oreiller était en train de l’étouffer ! J’ai jeté l’oreiller sur le sol, le bébé s’est mis à hoqueter et haleter. J’ai vraiment paniqué parce que ses yeux étaient grand ouverts et qu’elle me regardait avec une crainte que je n’aurais jamais cru voir dans les yeux d’un petit bébé. Finalement il a pris une dernière grande inspiration et s’est endormi. J’ai mis mon doigt sous son petit nez et constatant un petit souffle chaud, je me suis sentie en paix. Merci mon Dieu ! pensais-je.
J’allais retourner me coucher quand j’ai vu Aiden dans le couloir, il avait les yeux mi-clos de sommeil et il tenait ma bouteille de sirop. Il s’est dirigé vers moi, me l’a tendue, est retourné dans sa chambre et est remonté dans son lit. J’ai eu un sentiment de terreur, je n’ai pas réussi à dormir avant des heures.
Le lendemain, Aiden ne se souvenait de rien concernant ma bouteille de sirop, il ne l’avait jamais vu.e Lorsque ses parents sont rentrés, je leur ai demandé si leur fils était somnambule mais ils m’ont dit que non.
Après réflexion, je me suis rendu compte que si je n’avais pas été malade, je n’aurais pas cherché mon sirop, si je l’avais trouvé, je n’aurais pas regardé dans le lit du bébé et je n’aurais pas vu qu’elle était en train de mourir. De plus je l’ai beaucoup observé ce matin-là. il souriait et riait à je ne sais quoi. Pouvait-il voir quelque chose que je ne pouvais voir ? J’ai commencé par remercier Dieu de m’avoir envoyé mon Ange Gardien, mais à la réflexion, je pense qu’il s’agissait de l’Ange Gardien de cette petite fille.
Source : http://www.wirenot.net/X/Articles/2007/S/sleepingchildrenandstomachcramps.shtml?e=0,98,220,221,265,355,366,389,756#0